Dimanche 6 décembre 2009 à 13:47

C'est avec une colère incroyable que je publie cet article, je le publie parce que je veux marquer au fer rouge cette histoire qui n'a servi à rien. Parce que tu t'es payé ma tête et que tu as osé faillir à ma confiance et à mon dévouement. Ma vengeance... Sera autonome. Tu te puniras seul, ho oui. Je te déteste, je te blâme. Je suis en colère, je croyais en nous, je croyais en toi. Je t'ai fait entrer dans ma vie que je protège tant, tu sais tout de moi et en échange tu te bars en disant ne jamais m'avoir aimé? Mais merde, reste seul, c'est tout ce que tu mérites. Tu as la mémoire beaucoup trop courte à mon gout.

------------------------------------

Jérémy,

J’ai besoin de t’écrire, besoin de parler sans m’arrêter. Il est 1h12 du matin, je me suis réveillée en sursaut, comme si j’avais voulu me réveillé de ce cauchemar auquel j’ai encore du mal à croire…

Et  je me tortue l’esprit, tellement….

Qu’ai-je fait pour en arriver là ? Ho j’aimerai tellement comprendre. Je joue aux dures, en montrant mon sourire et ma joie de vivre, je me force à ce que « ça aille mieux »… Mais ça me rattrapage toujours et ça me brule. J’ai l’impression d’être attirée insensiblement vers cette ritournelle amère et infinie. Comme si j’étais condamnée à vivre et à revivre chacun de mes échecs. Chaque histoire à sa propre valeur, son propre degré d’importance… Pourtant cela finis toujours pareil.

« Les histoires d’amour finissent mal, en général… »

J’ai plus envie de prêcher dans le vent, j’ai plus envie de perdre mon temps à me consacrer à une personne. Je crois que je ne suis pas faite pour ça, je crois que cela n’est pas fait pour tout le monde. Il faut savoir l’accepter, cela prendra du temps mais j’y arriverai, je me le promets.

Ainsi je ne veux plus m’intéresser à mon nombril, je ne veux plus avoir comme but « être heureuse à deux ». Non, je veux me consacrer aux autres, je veux qu’on me voit comme une « femme libre » sans attache. Je veux prendre du temps pour des bouts de choux dans le besoin… Je veux établir des relations fortes mais sans engagement réel, avec à la clef un retour de sentiments bien plus sincère, bien plus unique et tellement plus forts.

J’ai tellement de choses à coucher sur le papier, tellement de choses à te dire, que je ne pourrai plus jamais faire…

Je vais me recoucher, je dois me reposer si je veux réussir à dépasser cette épreuve et à retrouver le moral, un retour de moral qui, je l’espère, va s’accrocher éternellement, car j’apprends de mes erreurs, j’apprends aussi des tiennes. Et je me le promets, plus jamais cela ne m’arrivera, plus jamais je me jetterai corps et âme dans une relation où les sentiments ne sont pas si stables que ça. Plus jamais je ne dirais « oui » aussi rapidement. Plus jamais ça. Le prochain, s’il doit arriver, va s’en mordre les doigts, s’il veut me convaincre de quoique ce soit.

Bonne nuit Amour (donne moi ton secret pour tourner si vite la page…)


On est mercredi 2 Décembre, il est 17h14 et je pleurs…

Je ne suis pas allée en cours comme tu as certainement pus le voir. Dans ma tête ça s’entremêle, je réfléchis certainement trop mais je n’arrive pas à faire autrement. J’ai passé la journée à gober devant la télé à me demander si  je rêvais ou pas. Et ce qui fait redoubler le débit de mes larmes, c’est lorsque je constate que non, je ne rêve pas. Encore une fois je me suis cassée le bout du nez. C’est tellement douloureux quand je me dis que mercredi dernier je t’avais acheté des croissants et que nous avions déjeuné tous les deux, parce qu’on ne prenait qu’à 14h, que le soir on a gratté des tickets et qu’on a voulu faire l’amour.

Et là « paf » plus rien, je me retrouve seule dans mon appartement, trop éloigné, trop humide et tellement grand quand tu n’es pas là.

J’étais bien avec toi. Je n’explique pas pourquoi, mais j’étais bien, pourquoi cela me paraissait aussi évident et pourquoi je nous voyais loin au delà de notre vie d’étudiant.

Pourquoi, aussi, je n’ai pas envie d’abandonner le sens de notre histoire. Mais tu m’obliges, tu me contrains à passer par cette étape de ma vie que j’ai beaucoup trop vécue à mon gout. Je m’interdis de penser… Je m’interdis de penser qu’un jour, on puisse se retrouvais…

Tu sais, les premières fois où nous avons pris le Tram ensemble, quand tu m’abandonnais à la Victoire, je m’autorisais à rêver qu’un jour il puisse se passer quelque chose. Je ne sais pas pourquoi je me faisais un tel scénario, je savais pourtant ton cœur pris, c’est pourquoi je m’appliquais à revenir à la réalité…

 Quand j’y pense, c’est exactement ce qu’il s’est passé, le film que je me suis fait pendant de longues heures de tram s’est, en effet réalisé… Du moins, en partie. Parce qu’à l’époque je n’imaginais pas la fin, je ne voyais qu’un long fleuve tranquille.

Et ce vendredi… Celui, on s’est fait réprimander deux bonnes fois par le prof de compta, on avait eu aussi mathématiques et l’alerte incendie. Le soir, on avait tout fait pour se retrouver à côté pour le devoir d’info.

Et la fois, où on avait fait un match par texto, que j’avais fièrement gagné ! ^^ On avait parlé des « profiteroles ».

D’y repenser, c’est très paradoxale. D’un côté j’ai l’impression que cela fait une éternité, parce qu’à l’époque j’étais heureuse et je faisais tout pour être stable, l’IUT m’avait repris, et je voulais prouver à ma mère que j’étais capable de me débrouillai seule, et surtout de choisir les bonnes voix et les bonnes personnes.

D’un second côté, j’ai l’impression que c’était hier, et que nous n’avons pas finis mon superbe scénario, notre jolie histoire.

En tout cas une chose est sûre, je me suis encore pris les pieds dans une racine et je me suis violemment fracassée contre sol. Et tout est à refaire… :’(

J’ai envie de te détester. J’ai envie de tout effacer et de reprendre tout ça, comme une véritable histoire. Tu sais, celle qui commence par tout une période de séduction et pas celle qui commence directement dans mon lit. Bien que cette nuit aussi m’a paru magique, c’était complètement irrationnel et atypique. Mais moi j’aime ça. Il est 17h52, et si j’allais prendre ma douche ? Et si je faisais ma compta ?

Tu me manques…

On est jeudi, il est 20h00

Je m’accorde quelques minutes pour finir ce courrier quelque peu bizarre… Je te laisse pénétrer dans mes penser, tu y lieras ce que je suis en train de vivre, mes émois, mon amour et tout ce qui fait de moi, ce que je suis. J’imagine que tu as rarement lu un tel courrier. Ma démarche peut sembler atypique, mais pour moi elle est tout à fait naturelle, je suis comme ça, j’ai besoin d’écrire… Ca me réconforte, ça me soutient. Je voudrais crier au monde entier l’injustice que je ressens à l’heure où j’essaie de finir ces quelques lignes.

Je pourrai bruler mes doigts tellement j’écris, tellement mes mots et mes maux se bousculent dans ma tête. Tu sais, je suis quelqu’un de spécialement fragile, incompréhensible, certainement malade aussi.

Je me remets en question à chaque instant. J’ai l’impression d’être en chute libre, l’impression de ne plus me ressentir moi-même dans mon corps, comme si je me voyais de dehors, comme si je ne contrôlais absolument plus rien.

Ma réaction est certainement disproportionnée, mais je n’arrive pas à faire comme si la vie continuée, comme si ma vie avait juste était trompée par un leur, trompée par quelque chose que je croyais sincère et profond. Pourquoi je parle au passé ? Hein ?

Parce que pour moi, tout ça, c’est du présent.

Je ne peux pas tourner une page en claquant des doigts, je ne peux pas renoncer… Mais je n’ai aucun pouvoir. Te dire que je t’aime, et que je t’aime vraiment le plus sincèrement possible, oui je le peux, et je le fais.

Tu te souviens, le jour, où s’était mis à côté en psycho ? Que la prof avait bien remarqué notre petit jeu et quelle te l’avait fait remarqué. Que le soir, tu m’avais dit très sérieusement et très solennellement : « je t’ai mentis » 

La fois, aussi, où on s’est bidonné pendant des heures à cause d’une certaine transformation des « ou » en « u »…                                              « Je vais prendre ma dUche mon AmUr ! »

C’était tellement amusant… On était bien. J’étais bien. C’était une évidence, comme ça l’est toujours pour moi à l’heure actuelle. Te croiser dans les couloirs, t’entendre parler c’est tellement douloureux, parce que la seule chose que j’aspire quand je te vois, c’est de me jeter dans tes bras, pleurer toutes les larmes de mon corps et te promettre que tu ne seras plus jamais malheureux.

Je n’ai aucun pouvoir… Je me croyais magique… Je ne le suis pas. Si je l’avais été, jamais tu nous aurais remis en question de la sorte.

Il est 20h18, je dois aller prendre ma douche, je sors avec très bon ami ce soir, j’ai besoin de réconfort. Je suis à deux doigts de prendre le premier bus pour courir de retrouver, comme jeudi, il y a quinze jours.

Tu sais j’aurais pu décrocher la lune si j’avais pus, je suis désolée si je n’ai pas été à la hauteur.

En tout cas, sache-le, Je t’Aime. Je n’ai pas envie d’oublier, quelqu’en soit le prix.

Dernière chose : Promet-le moi, si un jour ta lanterne s’éclaire, reviens-moi.

Chut… Ne réponds pas.

« Qui vivra, verra. »

Pauline

 

Dimanche 20 septembre 2009 à 16:26

Le 23 septembre 2009,
Encore un, un de plus.

"Tite Tête"
Aujourd'hui et une bonne fois pour toute:
Je te dis "A dieu"

Je respire,
Je ne veux plus de toi et de tes promesse à la con,
Je ne veux plus de toi et de tes excuses complétement bidon.

Un an que tu me fais tourner en bourrique, 
J'en veux plus.
MERDE.

Trois,
Deux,
Un:
NOUVEAU DEPART.

Puisqu'on ne voit en moi,
Qu'un misérable objet,
Alors c'est seule que je continuerai mon bout de chemin,
J'honorai mon nouveau départ comme il se doit...



Bonhomme, Charentais, un clin d'oeil.... Parce que les années passent mais le souvenir reste.
Je te raconterai...
Comme le monde est petit c'est dingue!

Merci pour tout.
Je t'embrasse.


Line***

Mercredi 8 juillet 2009 à 12:09

Bonjour mon Scoub'

T'inquiète pas, les deux articles précédents sont bien au chauds "hors ligne", personne ne peut tomber dessus comme ça...
J'espère que tout va bien à la Résidence, qui est ma mienne maintenant... Rooh la classe
M'enfin si tout va bien, car il va peut être il y avoir du changement...
Mon IUT veut, peut être, me reprendre l'an prochain, je sais pas.

Et tiens ta langue un peu, hein?
(Guigui est déjà au courant pour l'appart... Gros Malin... Mdr)


Bisous, M'sieur.

A très vite, mercredi ou jeudi, j'ai RDV sur Bordeaux...
Te tiens au courant.

Mercredi 10 juin 2009 à 22:00


Parce qu'il est temps d'en finir, d'avoir le courage de te quitter, de fermer la page d'un livre qui n'était pas fait pour nous, d'un livre que j'ai du partager pendant de longs mois avec elle(s). J'en peux plus.

Tu me hantes...

J'en ai marre d'aimer un fantôme, un fantôme qui construit des avenirs impossibles, des vacances irréalisables.
J'aurais aimé te le dire en face, mais même pour ce genre de situation, tu n'as pas une minute à me consacrer. Et cela, même avec ton dos cassé, cela n'a rien avoir... Aucunement.
Tout aurait pus être plus simple, tout aurait pus être moins douloureux...

Je ne veux plus qu'on m'oublie, je ne veux plus être au second plan, je refuse le partage.. qui plus est, était peu équitable...Tu vas être en colère, tu vas m'en vouloir, peut être même m'insulter.. Je me laisserai faire.


Dans ma tête tout se mélange et quand je me retourne pour voir ce que 2008-2009 m'a apporté... Je m'en mors les doigts.
Pas drôle cette année.

Et dire que 2008, devait être la plus belle année de ma vie.
2008, 2008, 2008...
Je t'ai tant attendu 2008, tant attendu qu'aujourd'hui je te trouve minable.

Qu'à tu fais de mon ange? Où l'as tu mis? Pourquoi l'as-tu métamorphosé en ce bonhomme trop sûr de lui, en ce bonhomme qui en oublie mon anniversaire et les nombreux 23 septembre?

Je suis malade, complètement folle et parano.

Et 2009? Mais quel horreurs ces 6 premiers mois...

    Entre une année complètement chiée, des "amies" qui ne partagent pas le boulot et l'amitié, celles qui m'oublient peu à peu avec cette putain de distance. Une distance physique, mais aussi mentale...
    Je ne me trimousse pas, je ne bois pas, je ne fume pas, je suis ennuyeuse... Affreuse ennuyeuse... :'(

Et les multiples coups de malchance, les gestes et les mots qui sont loupés, les rendez-vous à la noix et cet éternel regard plein de pitié.
"Et toi? tu vas rentrer seule chez toi Pauline?"

    Une promo inconnue, des regards qui me glissent sur la peau.
    Des collègues de groupe qui se sont fouttues de ma gueule, jamais bronché, toujours écouté, soumise va!
Je suis en colère et surtout soulagée que tout ça, soit fini.
Notre jolie amitié de voisine est définitivement finie. Tu n'as pensé qu'à toi, uniquement à toi.
Et tu m'as affreusement blessé, mais ça, ça t'es égale, tu auras ton année, je ne serais pas là l'an prochain pour vous embêter. Bien, non?
(comme ça fait du bien de l'écrire)

Un ami, un meilleur pote qui n'en est pas un et qui n'en sera jamais un..
Tout ce mélange dans ma tête.
Amour amitié, je sais plus, je sais rien, je suis nulle.
[point barre =/]

En espérant, que les 6 mois à venir seront meilleurs.. ='(
 

Daphné, Je t'aime.
Sans ma grande DD,
Jamais je ne les aurais passé
Ces 6mois.
MERCI
M'oublie pas
M'oublie pas comme le font les autres.
Par pitié.
<3

Jeudi 21 mai 2009 à 12:42


Cela fait bien longtemps que je n'ai pas publié d'article...

Ma vie est une incessante ritournelle, et je doute que cela intéresse quiconque...

Je m'ennuie, vraiment.



Plaisirs dangereux,

Que d'avoir retrouvé le goût sucré de tes lèvres...

Aurais-je retrouver les papillons magiques?

Ne m'oublie plus...


 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast