D'humeur plus que morose, rien ne va plus, et pourtant je m'accroche, parce que je refuse d'y croire, parce que je ne veux pas imaginer le pire, parce qu'on est les plus forts, parce qu'on s'aime et qu'on fera tout pour rester souder.

D'humeur plus que triste, affreusement seule, et pourtant je suis heureuse, enfin je l'étais... Des études qui me plaisent, des amis plus riches les uns que les autres, des souvenirs, un conscience de soit satisfaisante. J'apprends à vivre seule, à ne pas m'accrocher aux gens, à être solide, à être méchante et à tracer ma route telle que je la rêve.

Tu vois, Super Crétin, je m'en sors et je n'ai nullement besoin de toi pour y arriver. En fait ton comportement me fait de la peine. Pas pour moi, mais pour toi... Ca me fait doucement rigoler et tellement pitié. Je sais pas ce que je ressens si c'est plutôt de la haine, de l'ignorance ou même une sympathie ironique. Oui, tu me fais rire. Mais cette histoire est close...